Les sanglots longs des violons de l'automneBlessent mon coeur d'une langueur monotone.Tout suffocant et blême, quand sonne l'heure,Je me souviens des jours anciens et je pleureEt je m'en vais au vent mauvais qui m'emporteDeçà, delà, pareil à la feuille morte.Paul Verlaine
Day: January 8, 2007