Les sanglots longs des violons de l’automne
Blessent mon coeur d’une langueur monotone.
Tout suffocant et blême, quand sonne l’heure,
Je me souviens des jours anciens et je pleure
Et je m’en vais au vent mauvais qui m’emporte
Deçà, delà, pareil à la feuille morte.
Day: January 8, 2007